Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

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Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

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Insécurité : faisons le pari de l’innovation !

22/09/2009 15:59

Insécurité : faisons le pari de l’innovation !


La décision prise par le Directeur départemental de la Sécurité publique de l’Essonne de mettre à la disposition des citoyens une boîte aux lettres électronique pour signaler à la police, en toute discrétion, certains faits de délinquance, fait couler beaucoup d’encre.
Député-maire dans ce département, j’ai apporté tout mon soutien à cette initiative car je connais bien le défi permanent que représentent certaines incivilités ou infractions (rodéos, occupation de halls d’immeubles, etc.) pour les habitants qui y sont confrontés. Croyez-moi, lorsque vous êtes régulièrement en butte à ce genre de phénomènes, c’est bien légitimement que vous réclamez que tout soit fait pour qu’il y soit mis efficacement un terme.
C’est en tout cas ainsi que je conçois mon rôle d’élu, au côté et au service de mes concitoyens, notamment des plus fragiles. C’est pourquoi je ne me reconnais pas dans les cris d’orfraie poussés par certains élus essonniens, plus prompts à défendre de grands et lointains principes qu’à se soucier de la tranquillité publique.
Néanmoins, cela va de soi, une telle innovation nécessite des modalités de mise en œuvre adaptées aux contraintes des services de police, aux questions desquelles il faudra savoir apporter les bonnes réponses.
Les syndicats de policiers sont partagés sur l’opportunité de cette mesure, beaucoup d’entre eux lui apportant leur soutien, d’autres exprimant des doutes sur le sentiment qu’elle pourrait provoquer parmi la population si elle apparaissait comme de la délation.
Comme pour le « témoignage anonyme » que je soutiens, il faut rappeler que cette possibilité discrète de signalement n’est pas illimitée, la dénonciation calomnieuse étant punie par la loi.
Dès lors, offrir enfin la possibilité à de paisibles habitants, que la peur de représailles empêche trop souvent de se plaindre aux autorités, de signaler efficacement des incivilités récurrentes, ne peut être qu’une innovation positive au bénéfice de tous, à l’exception bien sûr des fauteurs de troubles.
Jusqu’à présent, on avait trop l’habitude de voir les honnêtes gens trembler… Pourquoi donc faudrait-il s’offusquer que la peur change enfin de camp ?
NDA





Réforme de l’orthographe : démocratisation de la langue ou aggravation des inégalités sociales ?

21/09/2009 15:58

Réforme de l’orthographe : démocratisation de la langue ou aggravation des inégalités sociales ?


Orthographe : ne prenons pas la conséquence pour la cause

Le Figaro du 5 septembre publie sur l’orthographe -sujet d’actualité s’il en fut, surtout depuis que François de Closets a avoué ne rien y comprendre- un article de votre serviteur.
Chacun a son idée sur la question, depuis les puristes du trait d-union jusqu’aux laxistes du langage SMS. Alors, déchirez-vous : un blog hanté d’« Orthoprofs » ne pouvait rester à l’écart d’une polémique aussi violente…
Pour parler sans ambiguïté (1), le débat sur l’orthographe est le serpent de mer des cinq derniers siècles. L’invention de l’imprimerie a généré le désir d’unifier les graphies, et de les différencier pour éviter tout contresens exorbitant. D’Etienne Dolet à Peletier du Mans en passant par Meigret ou Estienne, les grammairiens du XVIe siècle n’ont eu de cesse de proposer des réformes souvent inspirées de l’italien, afin d’aligner la graphie sur la prononciation. Les codificateurs du XVIIe siècle, Vaugelas ou Furetière, eurent à cœur de rendre la langue française aussi digne que celles qui l’avaient précédée -le latin, principalement. Et l’Académie s’efforce alors de polir la langue afin de donner à la monarchie absolue le véhicule culturel qu’elle exigeait : le code est aussi un corset culturel et politique, et le « bon usage » est la façon de parler de « la plus saine partie de la Cour », conformément à la façon d’écrire de « la plus saine partie des auteurs du temps ».
Toute réforme de l’orthographe doit être entendue sur ce plan-là. Si Voltaire préconise la graphie en –ai des imparfaits, c’est qu’il appartient aux « gens de goût » -l’expression est déjà moins inféodée à une caste sociale- contre les tenants d’usages barbares antérieurs (Rousseau, par exemple : les polémiques orthographiques reflètent les inimitiés personnelles). Les aristocrates au pouvoir écrivent comme ils l’entendent ? Mais la bourgeoisie triomphante, au début du XIXe siècle, entend gagner aussi au niveau orthographique : l’invention de la dictée est une manœuvre démocratique, et l’égalisation des graphies, quoique moins sanglante, vaut bien la machine à raccourcir de Guillotin. La centralisation napoléonienne s’accompagne nécessairement d’une unification linguistique.
L’expansion très rapide de la presse, dans la première moitié du XIXe siècle, contribue encore à généraliser des règles qui n’étaient pas connues de tous, et porte sur la place publique les débats académiques. Ce sont des journaux qui, au tout début du XXe siècle, combattent victorieusement le projet gouvernemental de simplification de l’accord des participes.
POUR ETRE COMPRIS, FRANÇOIS DE CLOSET ECRIT SANS FAUTE
L’orthographe fut et demeure un mode de clivage socio-professionnel, et tant que nous ne changeons pas de système ou de civilisation, il y a fort à parier que les modifications resteront anecdotiques -en retard même sur l’usage, qui disait « évènement » quand on écrivait encore « événement ». Rien d’étonnant à ce que des linguistes issus de Mai 68 (André Chervel, par exemple) fassent de « l’ortografe » un principe « bourgeois »…
Quoi qu’il en soit, les bélîtres du pédagogisme qui ont à peu près mis à genoux l’enseignement français n’avaient pas d’autre souci, et la méthode idéo-visuelle d’apprentissage de la lecture, largement responsable des dysorthographies actuelles, est pré-supposée -et c’est bien à tort- plus « égalitaire » que le b-a-ba bourgeois, alors qu’elle rajoute des inégalités aux injustices.
Car c’est bien la culture bourgeoise qui tranche, et refuser à des enfants, sous prétexte d’égalitarisme, les outils nécessaires — et l’orthographe est l’un de ces ustensiles discriminants qui font que votre CV est lu, ou mis à la poubelle —, c’est leur claquer au nez la porte de l’ascenseur social. D’autant que, quelles que soient et quelque aberrantes que puissent paraître certaines fantaisies orthographiques, ce n’est pas le pluriel de chou / hibou / caillou, ou phtisie plutôt que phthisie, qui pose aujourd’hui problème : c’est l’absence de discrimination grammaticale, les noms accordés comme des verbes, les verbes comme des adjectifs. Or, « en tant que nous apprenons, par la terminologie grammaticale, à nous mouvoir dans les abstractions, et que cette étude est à regarder comme la philosophie élémentaire, il est essentiel de la considérer, non pas seulement comme un moyen, mais comme un but » (Hegel). Toute insuffisance de forme, à ce niveau, provoque une hémorragie du sens.
    D’ailleurs, pour être compris, François de Closets écrit sans fautes…
    Trois décennies de restrictions de l’horaire de Français, à l’école et au collège, des instructions officielles aberrantes sur l’enseignement de la grammaire (la réforme du Primaire promulguée en 2008 par Xavier Darcos est la seule éclaircie récente), et des idéologies pédagogiques létales ont fait plus de dégâts dans les têtes blondes ou brunes que jamais l’exercice de la dictée, aujourd’hui tombé en désuétude, ne causa de traumatismes : mais casser le thermomètre est le plus sûr moyen de nier la fièvre. Le problème n’est pas de savoir si la graphie différenciée des cuisseaux de veau et cuissots de chevreuil prodigués par l’amphitryon est ou non un guêpier, mais si une réforme que certains, par un contresens exorbitant, appellent de leurs vœux, ne sera pas la cause d’une ségrégation sociale encore plus lourde que les hasards de la naissance ou la répartition inégale des capacités.
Jean-Paul Brighelli





Réunion de la Fédération Départementale 62 DLR

19/09/2009 08:27

Réunion de la Fédération Départementale 62 DLR


Réunion  de la Fération DLR.62 le 2 octobre 2009 à 19 H 00 à Arras. Outre la nommination des délégués de circonscriptions pour 2009/2010, la réunion sera surtout axé sur notre future engagement dans les éléctions régionales à venir.





L’euro critiqué de toutes parts...

19/09/2009 08:16

L’euro critiqué de toutes parts...


Le bien-pensant qui critique l’euro
Par Laurent Pinsolle
Christian Saint Etienne est un économiste reconnu, partisan d’une Europe fédérale et de la mondialisation. Pourtant, dans son dernier ouvrage, il attaque l’euro d’une manière radicale.
Un bilan désastreux
Pour lui, l’euro accentue les divergences entre ses pays membres. Pire, l’Europe « est devenue une zone de non-croissance relative dans le monde au sein de laquelle l’Allemagne conduit une politique de désinflation salariale compétitive ». Elle fait de « ses prétendus citoyens (…) des gladiateurs dans le cirque de la concurrence fiscale et sociale alors que les bêtes fauves surgissent de toutes parts ».
Plus mordant, pour lui, « la tortue européenne nage sans carapace dans la mer en prétendant que les requins sont des poissons rouges. Les poissons rouges n’hésiteront pas à porter l’euro à deux dollars pour sortir plus vite de la crise, même si cela doit dévaster des pans entiers de l’économie européenne, et à déverser leur surplus de production en Europe, dont le marché est ouvert à tout vent ».
La zone euro n’est pas une Zone Monétaire Optimale
Il démontre une à une toutes les carences de l’euro. Tout d’abord, il souligne que « la monnaie est l’une des trois manifestations de la souveraineté d’une nation libre » et que « les trois millénaires d’histoire économique montrent qu’il ne peut pas y avoir de divorce durable entre souveraineté monétaire et souveraineté politique ». L’euro sans fédéralisme n’est donc pas tenable.
Deuxièmement, il souligne que la zone euro n’est pas une Zone Monétaire Optimale. Il s’appuie sur la théorie du prix Nobel d’économie Robert Mundell, soulignant le manque de mobilité des travailleurs au sein de la zone et de fédéralisme fiscal. Il note également que les politiques économiques suivies sont divergentes et que les préférences nationales restent également très différentes. Seul point en faveur de l’intégration monétaire : le niveau élevé des échanges commerciaux au sein de la zone.
Les conséquences désastreuses de l’euro
Mais il y a pire : l’euro introduit des mécanismes pervers. Pour lui, « l’introduction de l’euro a accentué les divergences entre les performances de quelques nations qui ont su en tirer le meilleur parti, et celles des nombreux pays qui n’ont pas été capables de s’adapter à la nouvelle donne ». L’euro pousse à une concurrence non solidaire entre les pays, renforcée par le biais ultralibéral des institutions européennes.
L’Allemagne a ainsi construit son nouveau modèle sur une plus grande compétitivité salariale que ses partenaires en bloquant les hausses de salaires (+2% de 1999 à 2007, contre +17% en France, +23% en Italie et +26% en Espagne), quitte à déprimer sa demande intérieure et sa croissance (la plus faible d’Europe depuis 1999). L’Irlande a construit le sien sur une plus grande compétitivité fiscale. Et la Grande-Bretagne, en dehors de l’euro, peut recourir à la dévaluation pour se relancer.
Bref, l’unification monétaire pousse à des comportements qui ont fait de la zone euro « une zone de faible croissance et d’iniquité croissante ». Pire, l’envolée de l’excédent allemand s’est fait principalement au sein de la zone euro et contre ses partenaires. Du coup, le commerce extérieur a eu une contribution négative annuelle de 0,45 point à la croissance de la France de 2002 à 2008 et de 0,9 point en Espagne.
 
Retrouvez la suite de ce billet sur le blog de Laurent Pinsolle





Grève du lait : le gouvernement doit aider les producteurs au lieu de les stigmatiser

19/09/2009 08:07

Grève du lait : le gouvernement doit aider les producteurs au lieu de les stigmatiser


COMMUNIQUE DE PRESSE
Grève du lait : l’indignation indigne du ministre de l’Agriculture
Le ministre de l’Agriculture a décidé de traiter par le mépris le désespoir des producteurs laitiers français et européens, qui ont lancé la grève du lait.
Mr. LE MAIRE se scandalise de ce que de grandes quantités de lait soient déversées dans le cadre de cette protestation, alors que de « nombreux Européens souffrent de malnutrition ». Connaissant la souffrance de ces agriculteurs, qui « se lèvent tôt » chaque jour de l’année mais produisent à perte à cause de la politique ultralibérale de l’UE, ne devrait-il pas en l’occurrence se dire choqué que l’Europe est incapable de faire vivre décemment sa filière laitière ?
Le double jeu du gouvernement, qui pleure en France sur le sort des producteurs tout en laissant faire à Bruxelles la politique d’euthanasie de la filière voulue par Mme FISCHER BOEL et Mr. BARROSO, dépasse toutes les bornes. C’est l’indignation de Mr. LE MAIRE qui est indigne !
Ainsi que je le réclame avec de nombreux acteurs et organisations professionnelles de la filière laitière depuis des mois, il faut au plus vite que l’Etat cesse de mener en bateau les producteurs et prenne enfin ses responsabilités, en fixant lui-même un prix du lait qui permette une rémunération décente à ces derniers.
Nicolas DUPONT-AIGNAN Député de l’Essonne Président du rassemblement gaulliste Debout la République





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